Prochaine sesión
Dans le cadre des activités de commémoration du 80ème anniversaire de l’exil des Républicains espagnols et de la Journée du Livre, la prochaine session du Club de lecture de la Bibliothèque sera dédiée à Antonio Machado.
Poète par excellence, dramaturge et essayiste, Machado a versé sa sensibilité la plus intime dans une œuvre qui dépeint la mentalité espagnole de son temps.
Mercredi 24 avril, 18h30 : Réunion du Club et débat sur l’œuvre
Pour plus d’informations visitez notre site internet : Club de lecture et vous pouvez nous contacter et vous inscrire au bibpar1@cervantes.es
Próxima sesión
En el marco de las actividades de conmemoración del 80 aniversario del exilio de los republicanos españoles y también para celebrar del Día del Libro, la próxima sesión del Club de lectura de la biblioteca estará dedicada a Antonio Machado.
Poeta por excelencia, dramaturgo, narrador y ensayista, Machado volcó toda su sensibilidad en una obra que retrató la mentalidad española de su época.
Miércoles 24 de abril, 18:30 h : Reunión del Club y debate
Para más información podéis visitar nuestro sitio internet Club de lectura y podéis contactarnos e inscribiros en bibpar1@cervantes.es.
i comu mi sulvidaré
di vuestrus ojus pardidus
i comu mi sulvidaré
di las nochis
cuandu lus míus si saravan
i lus vuestrus
si quidavan aviartus
cuandu di spantu
si avrian lus di lus muartus
para darmus esta luz
qui nunca si amató
di
comu mi sulvidaré
Clarisse Nicoïdski (Lyon, 1938-París, 1996), novelista y estudiosa del arte, es asimismo una figura destacada de la poesía en lengua sefardí.
El miércoles, 28 de enero, el Instituto Cervantes de París presentará el libro El color del tiempo, traducción de la obra poética completa de la autora.
Participarán: Élie Robert-Nicoud, Ernesto Kavi, traductor, y Juan Manuel Bonet, director del Instituto Cervantes de París; lectura de poemas, a cargo de María Ridao.
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Clarisse Nicoïdski (Lyon, 1938-Paris, 1996), romancière et historienne de l’art, est aussi une figure remarquable de la poésie en langue judéo-espagnole.
Mercredi 28 janvier, l’Instituto Cervantes de Paris présente le livre El color del tiempo, traduction de l’œuvre poétique de l’auteur.
Avec la participation de Élie Robert-Nicoud, Ernesto Kavi, traducteur, et Juan Manuel Bonet, directeur de l’Instituto Cervantes de Paris. Présentation suivie d’une lecture des poèmes, par María Ridao.
El pasado martes, 14 de enero, falleció el poeta y periodista argentino Juan Gelman, Premio Cervantes 2007.
Nacido en 1930, en Buenos Aires, de padres ucranianos, desempeñó diversos empleos antes de ejercer como periodista. Alcanzó la notoriedad gracias a su obra poética, con escritos como Violín y otras cuestiones (1956), Gotán (1962), Interrupciones (1986), Carta a mi madre (1989).
Periodista y ciudadano comprometido, se vio forzado al exilio en 1976 a causa de sus convicciones políticas y de su oposición al golpe militar argentino. Ese mismo año, su hijo y su nuera, embarazada, pasaron a engrosar las listas de «desaparecidos» de la dictadura. Tras una búsqueda implacable de más de veinte años, Gelman consiguió encontrar a su nieta en Uruguay.
Fue galardonado en vida con los premios literarios más prestigiosos: Premio Nacional de Poesía en 1997, Premio Reina Sofía de Poesía Iberoamericana en 2005 y el Premio Cervantes en 2007.
Más información en Biblioteca Juan Gelman del Instituto Cervantes de Viena
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On a appris le décès hier, du poète et journaliste argentin Juan Gelman, Prix Cervantes 2007.
Né en 1930 à Buenos Aires de parents ukrainiens, il occupe différents emplois avant de devenir journaliste. Toutefois, c’est en tant que poète qu’il atteint la renommée, avec des œuvres comme Violon et autres questions, Gotán, Interruptions, Lettre à ma mère…
Journaliste et citoyen engagé, il est contraint à l’exil en 1976 en raison de ses convictions et de sa lutte contre l’arrivée des militaires au pouvoir. Cette même année son fils et sa belle-fille, enceinte, viennent grossir la liste des noms des « disparus » de la dictature. Après une quête acharnée de plus de vingt ans, Gelman parviendra à retrouver sa petite-fille en Uruguay.
Son œuvre a été récompensée par quelques-uns des prix les plus prestigieux parmi lesquels le Prix National de Poésie en 1997, le Prix Reina Sofía de Poesía Iberoamericana en 2005 et le Prix Cervantes en 2007.
Pour plus d’information: Biblioteca Juan Gelman Instituto Cervantes de Viena
Hoy se cumplen cincuenta años del fallecimiento de un extraordinario poeta español del siglo XX.
Luis Cernuda (Sevilla, 1902 – México, 1963), miembro de la denominada Generación del 27, construyó en vida una sólida obra literaria, que ha despertado estusiasmo y admiración en los escritores de las generacones sucesivas.
En su poesía aflora una personalidad hipersensible, melancólica, proclive a la soledad y al dolor, en conflicto permanente, como han señalado los críticos, entre la «realidad y el deseo».
La Guerra Civil española lo empuja al exilio. Vive durante un tiempo en Inglaterra, para posteriormente trasladarse a Estados Unidos y, más tarde, a México, donde fallece.
Luis Cernuda en:
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Aujourd’hui on célèbre les 50 ans du décès d’un extraordinaire poète espagnol du XXe siècle.
Luis Cernuda (Séville, 1902 – Mexico, 1963), membre de la Génération de 27, a bâti de son vivant une solide œuvre littéraire qui a suscité l’enthousiasme et l’admiration des écrivains des générations suivantes.
Dans sa poésie, affleure une personnalité hypersensible, mélancolique, encline à la solitude et à la douleur, en conflit permanent, entre « réalité et désir » comme l’ont remarqué les critiques.
La Guerre Civile espagnole le pousse à l’exil. Il vit en Angleterre pendant un temps, pour finalement s’installer aux Etats-Unis, puis au Mexique où il décède en 1963.
Luis Cernuda dans :
La prestigiosa revista Les Langues Néo-Latines dedica su número 361, junio 2012, a 8 poetas españoles contemporáneos:
Bajo el título Sur les pas d’Euterpe. 8 poètes espagnols d’aujourd’hui se incluyen los artículos siguientes:
Francisco Aroca : Antonio Colinas : variations sur l’harmonie
Vincent Denizeau : « Un mar hecho de luz inacabable » : itinéraire poétique de Jenaro Talens
Bénédicte Mathios : Olvido García Valdés : le sujet, le corps, les espaces, une poétique des limites et des passages
Claude Le Bigot : Une musique au cœur de la lumière : en lisant et en écoutant Andrés Sánchez Robayna
Claudie Terrasson : Carlos Marzal : de l’interrogation au chant du monde
Lucien Ghariani : La poésie de proximité de Roger Wolfe
Daniel Lecler : Sous l’angle de l’art et de l’amour : Juan Antonio González Iglesias
Lina Iglesias : La question du Je et du genre dans la poétique de Luisa Castro
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La prestigieuse revue Les Langues Néo-Latines consacre son numéro 361, juin 2012, à 8 poètes espagnols contemporains:
Sous le titre Sur les pas d’Euterpe: 8 poètes espagnols d’aujourd’hui:
Francisco Aroca : Antonio Colinas : variations sur l’harmonie
Vincent Denizeau : « Un mar hecho de luz inacabable » : itinéraire poétique de Jenaro Talens
Bénédicte Mathios : Olvido García Valdés : le sujet, le corps, les espaces, une poétique des limites et des passages
Claude Le Bigot : Une musique au cœur de la lumière : en lisant et en écoutant Andrés Sánchez Robayna
Claudie Terrasson : Carlos Marzal : de l’interrogation au chant du monde
Lucien Ghariani : La poésie de proximité de Roger Wolfe
Daniel Lecler : Sous l’angle de l’art et de l’amour : Juan Antonio González Iglesias
Lina Iglesias : La question du Je et du genre dans la poétique de Luisa Castro